Leslie Re16 : Souvenirs Escorte Occasionnelle
Leslie RE16 Les récits érotiques
Souvenirs Escorte occasionnelle
Cela faisait un moment que Caroline avait perdu le sommeil, mais cette nuit-là, elle navait carrément pas dormi de la nuit. Elle se retrouvait dans une situation financière difficile, il fallait absolument quelle trouve une solution pour avoir largent nécessaire afin de payer son loyer et couvrir ses dettes, rien de dramatique, mais Caroline naimait pas cette situation.
Durant les jours précédents, elle avait essayé de trouver des solutions et après avoir envisagé une dernière issue, elle savouait vaincue, personne ne pouvait la dépanner et son banquier lui refusait le crédit nécessaire.
Habitant à Paris, en cherchant un peu quelques jours auparavant, elle avait vu dans une revue spécialisée une annonce qui lavait surprise, et en regardant attentivement il sagissait dune agence recherchant des femmes pour faire les escortes dans différentes occasions, elle avait rencontré la directrice de lagence le lendemain
A cet instant, elle pensa quelle navait pas dautre choix que daccepter loffre que cette femme énigmatique lui avait faite lors du premier rendez-vous pour faire lescorte-girl de luxe.
Le premier rendez-vous à lagence :
Elle était entrée dans lagence, ne sachant pas ce quelle allait trouver, mais pour sur elle avait besoin de cet argent et que surmontant ses appréhensions elle était là.
Une jeune secrétaire aussi timide que jolie lavait faite patienter, Caroline avait eu le temps de remarquer la démarche hésitante de la jeune femme juchée sur des talons de dix centimètres, ainsi que sa jupe très courte laissant deviner la lisière de ses bas et les attaches du porte-jarretelles. Elle avait aussi remarqué quaprès un passage dans le bureau de la directrice, son chemisier, très fin et légèrement transparent, était largement plus ouvert, sa démarche paraissait dailleurs hésitante et Caroline remarqua que cette jeune femme en sasseyant derrière son bureau ne put retenir une grimace étrange, mais pas vraiment de douleur
Pendant lattente, Caroline ne pouvait sempêcher dobserver discrètement la jeune femme qui se dandinait sans cesse sur son siège, une crispation se lisant sur son visage, elle se demanda si cette jeune fille navait pas son petit cul pluggé.
Depuis son plus jeune âge elle navait jamais été en manque de sexe très longtemps, on la trouve jolie, un corps menu mais pas maigre.
Pour cet entretien, Caroline avait choisi une robe noire, moulante et échancrée, laissant deviner sa poitrine ferme et ses fesses musclées. Elle avait enfilé des bas tenus par un porte jarretelles et était chaussée descarpins noirs à talons hauts. Elle sétait maquillée légèrement, ne voulant pas trop en faire.
Elle nétait pas simplement jolie, elle était carrément superbe. Ses yeux bleus, ses cheveux bruns coupés assez court, ses formes parfaites lui assuraient un succès constant auprès des hommes, et occasionnellement auprès des femmes. Elle vivait seule, partageant son temps entre amant ou amantes de passage mais jamais longtemps et ses plaisirs solitaires
Elle remarqua que la jolie blonde lobservait également quand la directrice, une grande femme aux cheveux noirs en chignon, sortit du bureau et se planta devant elle, Caroline se leva aussitôt et serra la main tendue.
- Mademoiselle Caldert ? Suivez-moi, sil vous plaît.
Caroline la suivit dans le bureau et, après y avoir été invitée, sassit dans le fauteuil en cuir. La directrice la toisait sans aucune gêne et dit :
- Bon commençons
La directrice, une femme au visage sévère, ce sont les yeux dun gris métallique et les cheveux noirs qui lui donnaient cet aspect, elle était habillée dun tailleur strict, une fiche à la main elle commença :
- Donc vous êtes Caroline Caldert, vous avez vingt-trois ans, célibataire, photographe indépendante et vous parlez français, anglais, russe et chinois, vous pratiquez les arts martiaux, et aimez la musique et, bien-sûr, la photographie ?
- Oui, cest exact
- Vous mesurez un mètre soixante-seize et pesez cinquante-sept kilos, maintenant levez-vous et faites quelques pas dans le bureau que je regarde votre silhouette.
Caroline se leva et parcourut le bureau. La jolie secrétaire toqua et entra, les bras chargés de dossiers quelle déposa sur une table basse près du bureau.
- Merci, Agnès.
La secrétaire disparut, la démarche toujours un peu hésitante.
Reprenant lobservation de Caroline, la femme lui dit :
- Vous avez de très belles jambes, Mademoiselle Caldert, et le reste semble à lavenant également, je pense que si nous nous entendons vous allez avoir du succès.
La femme sassit en face delle, et rajouta :
- Oui vraiment, je pense que nous allons pouvoir travailler ensemble, Mademoiselle Caldert
Cependant aimez séduire ?
- Oui, je pense
Madame Parker lui expliqua les conditions de la rémunération, elle serait payée par lagence chaque fin de mois au prix forfaitaire établi suivant le temps de la prestation, les soirées, les nuits et les week-ends ayant un forfait préalablement établi.
Caroline sortit de ce premier rendez-vous une peu chamboulé, mais les montants annoncés la sortiraient rapidement des problèmes
Cest pour cela quaprès avoir téléphoné elle se rendit à lagence pour un entretien. Elle voulait des explications sur certains points et en particulier sur le déroulement des soirées.
Lentretien :
Reçu par la jeune Agnès, Caroline se retrouva dans le bureau de Madame Parker ? qui lui dit :
- Bon nous allons avoir un entretien qui sera filmé. Je vais vous appeler Sylvie et vous mappellerez Madame Parker, question de confidentialité.
La femme me sourit en enclenchant la webcam et commença affirmant que ce nétait quune formalité, une simple mise au point.
- Vous savez Mademoiselle Sylvie que notre agence propose un service descorte-girls et que vous savez ce que cela signifie et à ce que vous vous engagez à faire pour nous ?
- Oui, accompagner des hommes durant des moments, une soirée ou plus pour leur tenir compagnie
- Bien, les accompagner où ils le désirent, au restaurant, en boîte de nuit, et aussi en week-end parfois, et surtout vous comporter comme si vous étiez un couple, mais en montrant les limites de votre prestation, vous nêtes pas une prostituée, alors pas de couchage
Et aussitôt elle ajoute :
- Enfin pas officiellement, cependant, certains clients peuvent savérer pressants et vouloir aller plus loin, cest à vous de décider soit de vous défendre et refuser daller plus loin, mais en noubliant jamais que notre client doit être satisfait de vous et par conséquence de nos services, le client devant être fidélisé vous déciderez, par choix personnel, daller plus loin ou non et de passer à létape supérieure, et vous devrez disons
assurer en noubliant pas que si vos
prestations qui suivent votre choix sont mauvaises, le client se plaindra et ce sera notre réputation qui sera ternie.
Les yeux gris de madame Parker brillaient, et Caroline ne pouvait les quitter. Elle sentendit répondre timidement :
- Oui, Madame Parker, je comprends et soyez certaine que je ne vous décevrais pas.
- Bien, Sylvie, je me doutais bien que vous nétiez pas naïve. Vous êtes intelligente et nos clients apprécient beaucoup cela, pour la suite de lentretien, je vais faire venir Agnès. Ces questions sont assez personnelles, mais nous devons au mieux cerner votre personnalité pour guider nos clients au mieux.
- Bien, Madame Parker.
- Ahhh, une précision, notre agence ne soccupe que du relationnelle, nos tarifs ne comprennent quun escorting simple, pas de couchage prévu à nos prestations, dans le cas où vous décidez daller plus loin, un escorting complet, cest à vous de récupérer directement le montant de la prestation, vous comprenez ?
- Oui, je comprends très bien, ainsi votre agence ne peux être poursuivie pour racolage ou prostitution.
- Cest exactement cela, vous avez tout compris.
Elle se leva et appuya sur linterphone.
- Agnès, merci de venir prendre des notes.
Madame Parker sassit sur le rebord du bureau, en face de Caroline qui ne pouvait pas ignorer que la directrice se tenait les jambes légèrement écartées, offrant à la vue de Caroline la peau nue de ses cuisses juste au-dessus de ses bas et la tache sombre de sa culotte. Caroline avait du mal à regarder ailleurs et reporta son attention sur Agnès qui sassit dans un autre fauteuil, celui-ci étant très bas, sa jupe remonta bien au-dessus de la lisière de ses bas, et ses jambes légèrement écartées dévoilèrent la dentelle de sa culotte blanche.
Caroline sentit une étrange chaleur gagner son ventre et rougit un peu quand elle entendit une vois lui dire :
- Jespère que le spectacle vous plait ? Mais la question nest pas là, les questions vont surtout par la suite à cibler nos clients sil désirent ou sils manifestent lenvie dun escorting complet, cest pour cela que cela restera strictement confidentiel.
Puis Madame Parker entama son questionnaire.
- Célibataire, pas de petit ami ou petite amie en ce moment ?
- Oui, toujours seule, cest un choix de vie pour le moment
- Des aventures récentes ?
- Des relations régulièrement, cest vital, mais rarement longtemps
- Durée de votre dernière aventure ?
- Une vingtaine de minutes, plutôt décevant.
- Je veux parler de la durée de la relation, pas de celle de la partie de jambes en lair.
- Excusez-moi, Madame Parker, cétait un one-shot
- Vous vous masturbez ?
Caroline sentit ses joues sempourprer davantage et répondit dune voix mal assurée :
- Oui, Madame Parker, souvent.
De son côté, Agnès continuait de prendre des notes, ses jambes sétaient dailleurs écartées un peu plus et Caroline, qui commençait à avoir chaud, ne put sempêcher de comparer lentrejambe de madame Parker avec celui dAgnès
Mais les questions la sortirent de ses pensées.
- Vous avez déjà joui avec quelquun que vous naimiez pas ?
- Euh
oui, cest souvent le cas dans une relation éphémère basée sur le sexe.
- Avez-vous déjà fait lamour avec une femme ?
- Oui, Madame Parker.
- Et avec plusieurs partenaires ?
- Oui, deux fois.
- Donc, je peux vous proposer à une cliente, cela ne vous poserait pas de problème ?
- Non
non, Madame Parker.
- Si notre client nous demande que vous soyez dans des tenues seyantes, voire provocantes, jimagine quavec votre plastique irréprochable cela ne devrait pas vous poser de problème ?
- Non, pas du tout.
- Je vois que vous portez des talons et que vous êtes habituée à marcher avec.
- Oui, Madame Parker
- Jusquà quelle hauteur ?
- Dix, douze centimètres
- Bien Mademoiselle Caldert, ça me plaît.
Madame Parker se leva et tourna autour delle et lui demanda de lever les bras, de se baisser, de se cambrer, puis de soulever sa jupe. Madame Parker constata quelle portait des bas et un porte-jarretelles et la félicita. Puis elle lui demanda :
- Vous vous épilez ?
- Oui, depuis que je suis toute jeune.
- Bon, quand souhaitez-vous commencer ?
- Dès que possible, Madame Parker.
- Bien. Agnès à vos coordonnées et je vous recontacterais le plus rapidement possible, en attendant, Agnès va vous remettre une avance de deux-mille euros pour que vous puissiez vous acheter de la lingerie et quelques accessoires. Vous passerez obligatoirement aux magasins indiqués sur la liste quAgnès vous remettra, là on saura vous conseiller et vous bénéficierez de remises. Vous aurez aussi à passer dans une pharmacie après votre visite médicale, dès demain matin vous passerez cette visite, en fait un examen médical complet, prenez soin dêtre à jeun, Agnès a déjà pris rendez-vous et vous accompagnera.
- Merci beaucoup, Madame Parker.
- Cétait un plaisir de vous rencontrer, Sylvie, je suis sûre que notre collaboration sera fructueuse.
Bon, Agnès avec le chauffeur de lagence ma raccompagné à la maison en me donnant rendez-vous à huit heure le lendemain pour aller chez le docteur passer la visite médicale et les examens dusage, pour savoir si jétais saine et en bonne santé.
A suivre
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